Journal
Ma virée côtière débuta dans le charmant village de Coromandel, au volant de mon van aménagé, prêt pour trois jours d’aventure. À Coromandel, je flânai dans ses ruelles, visitant les charmantes galeries d’art et les boutiques artisanales. Chaque pièce, chaque création, racontait une histoire locale, un fragment de culture que j’emportais avec moi. Les artistes locaux, passionnés et accueillants, partageaient volontiers leurs inspirations et anecdotes.
Au lendemmain, dès l’aube, je m’engageai sur la route côtière, longeant la Firth of Thames. Les paysages pittoresques défilaient devant mes yeux, chaque virage offrant une nouvelle scène de beauté naturelle. Une de mes premières escales fut The Pinnacles, où une randonnée exigeante mais gratifiante m’attendait. Gravir ces sentiers escarpés me mena à des vues panoramiques époustouflantes. Le souffle coupé par la grandeur de l’horizon, je savourai cet instant suspendu entre ciel et terre.
Après cette aventure en altitude, je redescendis vers les marais. Là, j’observai les oiseaux dans leur habitat naturel, fascinée par la diversité des espèces et la tranquillité du lieu. Ce moment de quiétude contrastait agréablement avec l’énergie de la randonnée précédente. Le lendemain, je pris le temps d’explorer les plages isolées le long de la côte de la Firth of Thames. Le sable fin sous mes pieds et le doux murmure des vagues m’offrirent une pause sereine. Je profitai de cette solitude paisible pour me ressourcer, chaque plage révélant son charme unique.
La dernière journée, je continuai mon périple le long de la route côtière, admirant les paysages pittoresques. Les collines verdoyantes plongeaient dans la mer, créant des tableaux naturels d’une beauté saisissante. Les petites criques et les promontoires rocheux ajoutaient une touche dramatique à ce décor idyllique. Enfin, j’arrivai à Auckland, la ville scintillant au loin comme une promesse d’aventures futures.
Mon voyage touchait à sa fin, mais les souvenirs de ces trois jours de découvertes, entre randonnées, parcs, et routes côtières, resteraient gravés en moi. Chaque instant de cette virée côtière avait enrichi mon esprit et apaisé mon âme, me rappelant la splendeur et la sérénité de la nature néo-zélandaise.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.