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Overland geographic orientation
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Toutes les mesures de restrictions sanitaires pour l’entrée sur le territoire ont été levées.
Les ressortissants français bénéficient d’un régime d’exemption de visa de court-séjour pour les séjours touristiques ou d’affaires ne dépassant pas 60 jours calendaires. Les ressortissants français peuvent donc séjourner au Kirghizstan sans visa jusqu’à 60 jours calendaires, à chaque visite.
Ils convient toutefois de veiller à passer 60 jours au minimum hors du Kirghizstan entre deux séjours sans visa. Il est également à noter qu’une sortie de seulement quelques jours du territoire kirghize lors d’un séjour sans visa ne suspend pas le décompte desdits 60 jours autorisés à compter de la date d’entrée initiale au Kirghizstan.
Les voyageurs doivent être en possession d’un passeport d’une durée de validité de six mois au minimum après la fin du séjour au Kirghizstan.
En cas de perte ou de vol du passeport, il conviendra :
Le franchissement de la frontière avec le Tadjikistan n’est, pour l’heure, pas ouvert aux voyageurs individuels, ni pour entrer au Kirghizstan, ni pour en sortir, sur aucun des postes frontières entre les deux pays.
Les agressions sont peu fréquentes en Corée. Les déplacements en ville et dans tout le pays sont possibles à toute heure. Cependant, comme partout dans le monde, des vols (passeport, argent, etc.) peuvent survenir, particulièrement dans les quartiers fréquentés par les touristes et les lieux de sortie nocturne (Itaewon et Hongdae à Séoul notamment).
Le nombre de pertes et vols de passeports signalés auprès de l’Ambassade est en forte augmentation. Il est recommandé de conserver son passeport en lieu sûr et de surveiller ses effets personnels lors de la présentation de son titre de voyage lors d’une procédure de détaxe ou d’un contrôle d’identité notamment.
Le réseau autoroutier est étendu et de bonne qualité. Il est toutefois interdit aux motocycles (motos, cyclos, scooters). Le réseau secondaire est de qualité et résiste à des conditions climatiques parfois dégradées (cf. ci-dessus point sur les risques naturels).
La circulation est souvent difficile dans les grandes villes comme Séoul ou Pusan (trafic important, absence de noms de rues et de numéros d’immeubles, rareté des panneaux signalétiques en anglais en dehors des agglomérations importantes).
Il existe deux catégories de taxis :
En cas d’accident, le ressortissant étranger impliqué est souvent considéré comme responsable. En cas d’accrochage, il est d’usage de régler immédiatement le coût estimé de la réparation. Si l’accident est plus sérieux, mieux vaut laisser sa carte de visite afin que l’affaire soit traitée directement par un collègue ou un proche coréen. Même si l’accrochage est bénin, ne pas s’arrêter est considéré comme un délit de fuite et peut donner lieu à des poursuites pénales, voire à une incarcération assortie ou non d’un sursis. Pour l’établissement d’un constat à l’amiable, solliciter l’assistance de la police locale (en cas de problème sérieux, celle de l’ambassade de France). Ne jamais signer un document en coréen non accompagné d’une traduction certifiée conforme.
La prise des empreintes digitales par les services de police est une procédure extrêmement courante en Corée en cas d’interpellation, notamment en cas d’accident de la circulation s’il y a dommages corporels. Il convient de ne pas s’y soustraire.
Un permis coréen ou international est indispensable pour conduire un véhicule motorisé en Corée.
Pour un séjour de moins d’un an, le permis international est accepté. Pour une durée de séjour au-delà d’un an, l’obtention d’un permis coréen sera nécessaire. Pour tout renseignement : Road Traffic Authority .
La location de véhicule est possible avec un permis international ou un permis coréen d’une validité de plus de six mois (le permis français n’est pas accepté). Tarifs des locations : de l’ordre de 120 000 KRW par jour pour un véhicule de type berline (assurance tiers incluse).
La mise en service en 2004 d’un réseau de trains à grande vitesse (KTX) entre les principales villes du pays permet des déplacements rapides à l’intérieur de la Corée. Toutefois, les lignes qui ne sont pas desservies par le KTX sont lentes. Les trains sont confortables, ponctuels, et assurent avec fiabilité les liaisons entre les villes du pays.
L’usage et le trafic de drogue, sous toutes leurs formes, sont strictement interdits.
Le consommateur, qui est systématiquement placé en détention provisoire, encourt une peine pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement. Quant au trafiquant, il risque une peine d’emprisonnement à perpétuité.
Lorsque le délinquant est d’origine étrangère, la sanction pénale est, le plus souvent, suivie d’une mesure d’expulsion.
La conduite en état d’ivresse est sévèrement réprimée (le permis peut être retiré et, si l’accident est grave, il peut y avoir une peine de prison).
La prostitution est illégale. En principe, toute personne y ayant recours s’expose à une peine d’emprisonnement ou à une amende et peut voir son nom publié dans la presse et communiqué à son employeur.
Le droit à l’image est très encadré en Corée. Photographier une personne et diffuser des clichés sans l’autorisation explicite de celle-ci constitue une infraction au code pénal coréen. Selon la nature des photos, l’auteur pourra également être poursuivi sur le fondement de loi réprimant les crimes et délits sexuels.
Le travail non déclaré est sévèrement puni en Corée du Sud. Tant l’employeur que l’employé sont susceptibles d’être poursuivis et les travailleurs étrangers pris en flagrance de travail dissimulé fait systématiquement l’objet d’une mesure d’expulsion.
Il est recommandé d’observer, en toutes circonstances et particulièrement sur la voie et dans les lieux publics, un comportement réservé et respectueux dans ses échanges avec des tiers.
Il est également nécessaire de tenir compte, en toutes circonstances et notamment dans un contexte festif, de l’existence de différences culturelles quant aux relations et interactions physiques entre deux personnes. Un simple contact physique sans consentement éclairé et explicite de l’une des parties peut faire l’objet, au regard de la législation coréenne, de poursuites pénales en cas de dépôt de plainte.
De nombreux touristes se laissent surprendre par le coût particulièrement élevé de la vie en Corée. Il convient de se munir de ressources suffisantes pour la durée prévue du voyage (notamment pour le transport et l’hébergement).
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Les Français qui se rendent dans le pays doivent veiller à leur sécurité et ne pas s’exposer inutilement. Ils sont invités à s’assurer qu’ils disposent de moyens nécessaires en cas de crise (vérifier les termes des contrats d’assurance) et de moyens financiers nécessaires pour couvrir d’éventuels frais d’hospitalisation ou d’évacuation, etc..
L’Ambassade de France au Kirghizstan ne délivre pas de titres d’identité et de voyage. En cas de perte ou de vol de passeport, l’Ambassade d’Allemagne à Bichkek peut émettre, après vérifications, un laissez-passer. Ce titre d’urgence permet uniquement de se rendre en France, où il sera possible de faire renouveler le titre perdu ou volé.
L’Ambassade de France à Astana, au Kazakhstan, est compétente pour toutes les autres démarches administratives concernant les Français résidents ou de passage au Kirghizstan.
Trouver toutes les informations nécessaires sur le site de l’Ambassade de France à Astana.
En cas d’incident grave dans le pays pendant son séjour, il est important de rassurer ses proches.
Le Kirghizstan est situé en zone sismique. Il est recommandé de consulter la fiche « Séismes ».
Il convient d’être extrêmement prudent au volant et vigilant à l’égard du comportement des autres conducteurs, en particulier à Bichkek où la circulation est plus dense.
En cas de contrôle par la police de la route kirghize, la présentation d’un permis de conduire international, en sus du permis de conduire français, est fortement conseillée. A défaut, la présentation du seul permis de conduire français peut s’avérer suffisante, à condition toutefois qu’il soit accompagné d’une traduction certifiée conforme, en langue kirghize ou en langue russe.
Les piétons doivent également faire preuve de grande prudence, y compris lorsqu’ils traversent les passages cloutés.
Hormis quelques grands axes (Bichkek/Och, Bichkek/lac Issyk Koul, Bichkek/Almaty), le réseau routier est en mauvais état.
Plusieurs touristes français de passage à Bichkek ont signalé avoir été rackettés, notamment aux abords du marché d’Och, par des individus se faisant passer pour des policiers en civil, alors même que tous les policiers au Kirghizstan portent obligatoirement un uniforme. Le mode opératoire est toujours le suivant : plusieurs personnes, après avoir rapidement montré une carte « de police », entraînent le touriste à l’écart, par des manœuvres d’intimidation, afin de lui soutirer de l’argent.
Dans cette situation, il est recommandé de s’efforcer de rester au milieu de la foule, présenter de préférence une photocopie du passeport, refuser de donner de l’argent et rapporter l’incident à l’ambassade.
Des cas d’extorsion de fonds par des policiers en uniforme ainsi que par des douaniers à certains passages frontaliers ont également été signalés. Dans de tels cas, il est recommandé de relater le plus précisément possible les faits à l’ambassade (voir « Recommandations générales »).
Il convient également d’être vigilant aux abords des bureaux de change et des distributeurs automatiques de billets.
Des agressions sexuelles à l’encontre de touristes étrangères ont été signalées. Il est recommandé de veiller à ne jamais se retrouver seule dans les zones isolées ou peu fréquentées, notamment à la nuit tombée. Il est également recommandé aux femmes d’éviter de pratiquer des excursions en montagne sans accompagnement par au moins un homme de confiance.
En raison d’une menace terroriste latente au Kirghizstan, il convient de suivre les recommandations des autorités locales en matière de sécurité et faire preuve de vigilance, notamment dans les lieux publics et aux abords des bâtiments publics.
Les relations entre villages frontaliers kirghizes et tadjiks dans le bassin de la rivière Isfara (oblast kirghize de Batken) sont conflictuelles depuis de nombreuses années et peuvent parfois conduire à des violences.
L’ensemble du territoire du Kirghizstan est placé en vigilance renforcée. En raison de tensions frontalières occasionnelles avec le Tadjikistan, il est déconseillé sauf raisons impératives de se rendre dans l’oblast (province) de Batken, à l’extrémité Sud-Ouest du Kirghizstan.
Il est recommandé de voyager en groupe, assisté d’un ou plusieurs accompagnateurs locaux pour les déplacements en dehors de Bichkek, et de se tenir à l’écart de toute manifestation politique dans le pays.
Il convient de se munir d’une photocopie du passeport et des tampons de la police des frontières, à présenter lors des contrôles de routine.
Il convient de se montrer prudent au sortir d’une soirée ou d’un dîner au restaurant, et d’éviter de se promener seul la nuit. Des sociétés de taxis peuvent, à faible coût, conduire leurs passagers où ils veulent.
Le Kirghizstan abrite trois sommets de plus de 7 000 m très prisés des alpinistes. Le pic Lénine est très populaire, l’accès au camp de base se faisant par une route asphaltée qui relie le Kirghizstan et le Tadjikistan, à près de 4 000 m d’altitude. Toutefois, l’accès à ce camp et surtout l’ascension du pic Lénine ne sont pas sans danger. En effet, l’arrivée par voiture au camp de base sans fournir le moindre effort physique ne permet pas l’acclimatation. La température au sommet peut descendre jusqu’à -30°C, alors même que la chaleur estivale couvre le camp de base. Les voyageurs peuvent souffrir de violents maux de tête et d’insomnie dès leur arrivée. Chaque année, plusieurs accidents mortels sont enregistrés, dus à une ascension trop rapide (embolies pulmonaire ou cérébrale), à des erreurs d’inattention (chutes dans une crevasse, décrochages sur une pente glacée) ou encore au manque d’équipement (gelures pouvant entraîner l’amputation des phalanges, faute de gants ou de chaussures adaptés).
Afin de limiter ces risques, il est vivement recommandé :
Il est également conseillé aux voyageurs de communiquer leur itinéraire de haute montagne au Ministère des Situations d’urgence avant leur départ. Contact : 112.
Il convient enfin de contracter une assurance adaptée couvrant les frais médicaux et de rapatriement sanitaire, et de vérifier l’ensemble des garanties.
Les nombreux sites Internet et les blogs consacrés au pic Lénine peuvent être utilement consultés.
Un séjour à l’étranger implique pour tout voyageur de prendre certaines précautions de santé. La rubrique ci-dessous mentionne les indications essentielles. Toutefois, ces indications ne dispensent pas le voyageur d’une consultation avant le départ chez son médecin traitant et/ou dans un centre hospitalier spécialisé dans la médecine des voyages (et ceci suffisamment longtemps avant le départ pour permettre les rappels de vaccins).
Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé parfois très élevés à l’étranger, il est vivement recommandé de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux et de rapatriement sanitaire, au risque de ne pas avoir accès aux soins, y compris en cas d’urgence vitale. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’ambassade de France sur place.
Consulter si besoin son médecin traitant ou un centre de vaccinations international pour faire une évaluation de son état de santé et bénéficier de recommandations sanitaires. Il peut être utile de consulter son dentiste avant le départ.
Constituer sa pharmacie personnelle en conséquence et n’emporter que les médicaments nécessaires. Il est vivement déconseillé de consommer des médicaments achetés dans la rue (risques de contrefaçons).
Pour plus d’informations, consulter la fiche Infos pratiques.
Aucun vaccin n’est obligatoire mais certains peuvent être recommandés. Il convient de s’assurer d’être à jour dans ses vaccinations habituelles mais aussi dans celles liées à toutes les zones géographiques visitées.
Il est recommandé d’être à jour des vaccinations diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) et rougeole-oreillons-rubéole (ROR). La vaccination antituberculeuse est également souhaitable.
En fonction des conditions locales de voyage, les vaccinations contre la fièvre typhoïde et les hépatites virales A et B peuvent être recommandées.
La vaccination contre la rage peut également être souhaitable dans certains cas, en fonction des conditions et lieux de séjour. Demander conseil à son médecin ou à un centre de vaccinations internationales.
Concernant les infections sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque.
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